“Parce que la genèse de ce texte est, elle-même, digne d’un roman : Violette Ailhaud a écrit ce texte en 1919 mais n’a pas voulu le publier à l’époque, elle a donc cédé son manuscrit à sa descendance. L’enveloppe de sa succession ne pouvait pas être ouverte avant l’été 1952 et devait être confiée à l’un de ses descendants féminins âgée entre 15 et 30 ans.
Parce que l’histoire relatée dans ces pages mérite d’être connue et transmise de génération en génération.
Parce que ce livre est publié par mon éditeur chouchou, celui chez qui j’ai fait mon premier stage et qui a confirmé mon envie de devenir éditrice.”
Laura C.
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