Sa blancheur infinie de banquise m’attire et me terrorise…
Sa blancheur infinie de banquise m’attire et me terrorise… La page destinée à recevoir les premières phrases de ce roman me trotte dans la tête
Sa blancheur infinie de banquise m’attire et me terrorise… La page destinée à recevoir les premières phrases de ce roman me trotte dans la tête
Sur un papier de belle qualité, mettre une bonne dose d’imagination. Creuser un petit puits au milieu et y distiller quelques grammes de légèreté, un
Mon premier souvenir de lecture restera toujours la vision de l’index de mon arrière-grand-mère glissant lentement, au rythme de sa voix douce, le long des
Beaucoup les lisent, d’autres pas. Certains s’en servent… autrement. Pour améliorer la circulation du sang dans les jambes… en glissant deux volumes de La Pléiade
Vous êtes-vous déjà posé la question de savoir lequel, parmi tous vos livres, vous sauveriez ? Je regarde les miens, ce soir, bien alignés sur
Ouvrir, fermer, autoriser, interdire… En lieu et place d’autoriser un peu, on préfère interdire, tout… Nécessaires, utiles, futiles, accessoires… les livres ? Se glisser dedans,
Les mots… appétissants, comme les lézards dont je collectionne les queues abandonnées sous ma patte, incisifs, comme mes canines qui mordent et déchirent, réconfortants, comme
… le traumatisme crânien, pour le distrait qui, le nez dans son livre, rencontre un réverbère, l’électrocution, pour l’inconscient qui, dans son bain, reste déterminé
Et vous, où lisez-vous Animal Lecteur ?Dans les moments d’attente, calé contre un mur, sur une jambe, comme un héron ?Lové dans des coussins moelleux,
Le souci de remplir utilement ce temps imposé semble avoir été l’objectif, avoué sinon tenu, de nombre d’entre nous. Moi aussi, les premiers jours, devant
Et puis il y a des textes qui se lisent à haute voix… À la lecture de la première phrase, on sent bien qu’il nous
C’était en février, Polina rentrait juste de Rua da Cruz, encore une fois les mains vides. Pourquoi partir ? Après une enfance australienne – elle était
Tandis que les heures se suspendent aux horloges arrêtées, les bateaux tournent leur proue vers le large en direction d’îles désertes, de rivages inconnus, de
Nul besoin aujourd’hui de sortir une petite heure dans le périmètre réduit d’un kilomètre… j’ai désintégré mes murs avec, comme unique arme, un livre… «Fusil».
Désenfermer… Au troisième et dernier étage sans ascenseur de mon petit immeuble niçois de style Art déco, je suis comme dans un phare. Je me